20 ans de chemtrails (chronologie d'un empoisonnement)

 

20 ans de « chemtrails »

(Chronologie d’un empoisonnement)

 

    C’est durant l’été 2004, il me semble, que pour la première fois j’ai vu un « chemtrail ». Le temps était magnifique et je prenais le soleil assis sur une chaise longue dans mon jardin en contemplant le ciel bleu et « pur » de la banlieue de Paris lorsqu’un avion ayant apparemment perdu son chemin a subitement lâché une longue trainé blanche dans l’atmosphère. Là, juste sous mes yeux effarés. La colère et la rage m’ont immédiatement envahi et j’ai maudit l’avion, le pilote, les mécanos et tous leurs donneurs d’ordre pour cette attaque, cette invasion de mon espace, cette volonté de nuire à la société. J’ai aussitôt pensé et à juste titre que l’état avait décidé de gazer les populations afin de les rendre malades et pour les faire crever plus vite. J’ai eu l’envie désespérée d’arrêter de respirer, de courir au loin, de m’enfouir sous terre pour y échapper, tout en comprenant qu’il était vain de lutter contre la folie destructrice des puissants. Pour moi, la guerre a commencé à cet instant.

    Ce jour-là, la trainée blanche a persisté quelques minutes avant de lentement se désagréger et aucun autre avion n’est passé pour se délester de son infâme poison. J’ai compris cependant que cette première trainée ne serait pas la dernière. Que cet épandage n’était pas un malencontreux accident et qu’il augurait d’un sombre futur.      

    Des épandages ont suivi de manière plus ou moins régulière, des quadrillages du ciel qui finissaient par s’étendre en une vaste couverture nuageuse qui bloquait les rayons du soleil. La première des choses que j’ai constatée a été le refroidissement de l’atmosphère dû au manque de soleil, plusieurs années de suite. La seconde ont été les symptômes respiratoires induits par les épandages de particules. La troisième et non des moindres a été l’affaissement de la fertilité des végétaux et de leur immunité.

     Quelques années ont passé avant que la réalité des « chemtrails » ne soit évoquée. De façon très succincte et totalement tronquée par de rares élus capables de pousser l’absurde en affirmant que les combustibles d’avions formaient dorénavant des trainées de condensation persistantes à basse altitude, à l’encontre des bases fondamentales de la physique. Les médias se sont mis à relayer toutes les fausses informations qui leur étaient données, jusqu’à ce qu’une radio confirme la réalité des épandages et en explique le but : lutter contre le réchauffement climatique en réduisant l’ensoleillement. Seuls les réseaux sociaux en ont dénoncé les effets visibles, aussitôt relayés par des hordes de faux dissidents, de faux complotistes et de « fact-checkers » payés pour les dénigrer.

   Des années durant, dix ans pour être précis, les épandages n’ont cessé de croitre et leurs effets d’empirer. Le refroidissement s’est transformé en perturbations climatiques extrêmes oscillant entre périodes de sécheresse caniculaire et périodes pluvieuses rafraichissantes. Les symptômes respiratoires se sont aggravés et d’autres symptômes sont apparus. Enfin, la fertilité et l’immunité des végétaux ont chuté de manière vertigineuse.

   Les médias en ont fait une affaire d’état, accusant le réchauffement climatique anthropogène d’en être la cause. Les promotions pour les médicaments censés combattre les divers symptômes respiratoires ont explosé. Les productions agricoles locales se sont effondrées au profit des productions sous serres protégées. Même l’industrie du mouchoir et celle des chiffons anti-poussière en ont profité et en profitent encore.

    Les dix dernières années ont été les plus destructrices (2015-2025). Depuis le gros flanby sous la pluie, jusqu’à aujourd’hui jupiter, maitre des cieux et des feux de forêt. Preuve en est, la période du « conarovirus » durant laquelle les épandages se sont transformés et démultipliés. Les taux de particules nocives et leur fréquence d’épandage ont quasiment triplé. Des vagues de nuages orange et de pluies colorées se sont déversé sur nos têtes.

    Des tonnes de particules toxiques ont aussi été épandues de manière quasi invisible durant les rares périodes de ciel bleu (clair) qui nous ont été octroyées, dans les seuls buts de provoquer à la fois un effet (loupe) de chaleur intense, ainsi que des symptômes respiratoires, musculaires, endocriniens et neurologiques au sein de la population. Ce sont d’ailleurs ces symptômes qui ont trompé les citoyens les plus vulnérables et les ont incités à la vaccination.

    Aujourd’hui, ceux qui ont instauré la géo-ingénierie, qui en ont dénié la réalité et la nocivité, en sont eux-mêmes victimes, toussant et crachant leurs glaires comme des tuberculeux sur les plateaux du 20h. De là à faire le lien avec leur soudaine stérilité et leurs nausées… il n’y a qu’un fil ténu qui risque de rompre.

    La guerre en ukraine a entériné un changement radical dans la gestion de l’énergie et de la géo-ingénierie. Après avoir bien profité des derniers barils de pétroles encore accessibles, les états se sont vu fermé les robinets et ont dû palier à ce manque. L’état français, lui, a choisi d’augmenter les prix de l’énergie tout en tempérant le climat.

   Ayant pris le temps de transformer le parc de l’aviation civile en avions-épandeurs durant la période du confinement, l’état a ensuite utilisés ces derniers pour des épandages de masse censés créer une couverture nuageuse et donc un effet de serre durant la saison froide. Mission réussie…! Trois années de douceur hivernale nous ont permis d’économiser un peu d’énergie… à défaut d’argent. En contrepartie, la pluie sera notre croix.

     Je veux pour étayer mon propos faire part des constatations que j’ai pu faire en observant les effets des épandages sur les végétaux. C’est la couleur orangée des jeunes pousses d’arbres et d’arbustes qui m’a sauté aux yeux. Eux qui avaient toujours été verdoyants semblaient subitement malades et chétifs. La coïncidence après l’apparition de vagues nuageuses tout aussi orangées n’est pas fortuite. Les feuilles se sont elles aussi mises à rougeoyer sur les bords, à brunir, à se dessécher et à se torsader ; des signes caractéristiques des symptômes induits par « l’agent orange ». Des branches se sont mises à pousser sans faire de feuilles et sans faire de fruits. Les productions ont été divisées par deux en période de beau temps et par trois en période de mauvais temps. De nombreuses maladies fongiques se sont amplifiées et sont devenues persistantes.  

    Ces particules toxiques, quelles qu’elles soient, sont à l’évidence capables de perturber la croissance et la fertilité des végétaux, d’induire des symptômes, voire des pathologies destructrices sur le long terme. Nous les respirons et les ingérons quotidiennement sans faire le lien avec les symptômes que nous ressentons, alors même qu’ils en sont la seule et unique cause. Ce ne sont pas les conarovirus, ni les pollens de chanvre qui vous font tousser et cracher vos glaires, ce sont les épandages de « chemtrails »… et c’est pour votre bien…!

 

 

 

 

 

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